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 Hybride combattant

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MessageSujet: Hybride combattant   Hybride combattant EmptyLun 1 Jan - 9:59


Qui êtes vous?



Généralités

♠️ Prénom : Logan (Nom donné par son père et que lui seul connait pour le moment)
♠️ Nom : Octavus (Nom donné par son maître et que tout le monde connait)


♠️ Sexe : Mâle
♠️ Âge : 21 ans

♠️ Race : Tora (tigre)
♠️ Groupe : Hybride mâle
♠️ Rang : Sauvage

♠️ Orientation : Hétérosexuel


Personnalité

Ce qu'on retient le plus souvent de toi la première fois qu'on te croise, c'est certainement ton côté très mystérieux. Tu es réservé quand à ton passé, ton vécu. Tu caches aussi assez bien ton jeu. Ton physique et ta manière de te comporter au début, laisse penser que tu es un homme rustre, brutale, parfois vulgaire dans tes propos, égoïste, méchant et violent. Tu es un peu vaniteux, tu aimes ta gloire au sein de l'arène.

Pourtant, tu n'es pas toujours comme ça. Lorsqu'on apprend à te connaître ou que l'on s'attarde sur ton cas, on peut se rendre compte de ta bonté, tu n'hésites pas à aider les plus faibles, sans même rien demander en retour. Et tu es particulièrement protecteur envers les personnes qui te sont proches.

Tu es séducteur malgré toi. Tu ne dragues pas spécialement, c'est souvent ton côté "méchant garçon" qui attire. Mais tu ne t'attaches pas facilement, tu as trop eu l'habitude de servir de reproducteur pour vraiment apprécier une vraie relation. Ce n'est pas que tu n'en as pas envie, tu n'as juste pas l'habitude, ni eu l'occasion jusque là. Les sentiments d'amour et d'amitié ne te sont pas très connus, à part en ce qui concerne ton père à qui tu voue également une profonde admiration.

Tu es solitaire. Au ludus que tu as quitté il y a très peu de temps, tu passais beaucoup de temps seul. Tu n'as jamais pu vraiment te mêler aux autres hybrides combattants, il y avait trop de concurrence entrevous et tu étais le fils de celui qui vous entraînait.

Tu es un hybride docile, tu es né esclave et ne connais que ça. Tu es d'ailleurs un peu anxieux à l'idée de devoir te débrouiller seul dans la nature, sans aucun confort ou aucune facilité.

Pour le moment, tu n'es pas près à renoncer aux combats dans l'arène. Ce n'est pas que tu aimes tuer, mais comme te disait ton paternel, "mieux vaut mourir en combattant dans l'arène plutôt que sous les coups d'un humain".

L'impulsivité fait partie de toi. Si on te cherche un peu trop, tu ne réfléchis pas beaucoup et tu agis en conséquence. Dans ton cas, c'est à la fois un défaut et une qualité puisque c'est dans ces moments-là où  tu t'emportes que tu remportes la victoire dans l'arène.


Apparence


Tu es un homme plutôt grand pour un hybride de ta race, du haut de tes 1m95. Tu pèse 98Kg exactement, mais attention, il n'y a aucune graisse. Ça se voit, tu es musclé, les entraînements, la musculation et les combats que tu pratiques régulièrement ont façonné ton corps tel qu'il est à présent. Tu as aussi des épaules larges et des jambes solides. Tu présentes peu de pilosité, sauf sur le bas de ton ventre en dessous de ton nombril. On peut dire que tu es bien foutu, tu peux remercier tes parents pour ça, mais tu n'entreras pas dans les détails de ta morphologie masculine, tu as ce qu'il faut où il faut dirons-nous. Ton teint est un peu mâte, tu passes beaucoup de temps en extérieur.

Partout où tu passes, on te surnomme "le Ténébreux" pour les traits de ton visage. Tu es virile, ça se voit, mais ce n'est pas ça qui fait ton charme. Tes cheveux bruns aux pointes rouges, toujours coiffés en bataille te donnent ton côté rebelle, et tes yeux allongés de la couleur doré te donne ce fameux côté ténébreux et méchant garçon. Ces yeux dorés démontrent bien les origines de ta race. Tes cheveux sont raides et particulièrement doux, tu aimes passé tes doigts dedans, ils sont fins et tu peux les démêler facilement sans peigne ou brosse. Tu n'as pas d'oreilles félines mais tu possèdes une queue zébrée jaune et noire. Tu as également des crocs d'une bonnes longueurs et des griffes rétractiles à la place d'ongles humains qui peuvent atteindre jusqu'à six centimètres de long.

Au niveau vestimentaire, tu aimes être à l'aise, tu ne portes que des jeans et souvent des t-shirts ou débardeurs. Il est rare que tu mettes des pulls, tu préfères encore une chemise que tu ne boutonnes pas jusqu'en haut. Tu ne portes pas de chaussures, tu ne supportes pas ça. Tu es habitué à marcher pieds-nus. En dehors de tous ces détails de ta personne, il y en a un dont tu es particulièrement fier, ton tatouage. C'est un dragon asiatique, dont la tête par de ton omoplate gauche pour s'enrouler ensuite le long de ton bras, comme si il ne faisait qu'un avec toi, un compagnon assez récent. Ce tatouage de couleur noir permet de cacher la marque de ton ancien maître. Une marque au fer rouge représentant la lettre "M" du nom de ton ancien maître.

Tu présentes aussi, un peu partout sur ton corps, des cicatrices plus ou moins importantes, dû aux nombreux coups que tu as pris tout au long de ta jeunesse et même encore aujourd'hui. Les plus récentes sont dû à un glaive. La première est située sur ta joue gauche, la seconde sur ton flan droit et la troisième sur ton pectoral gauche. Les deux dernières du mal à cicatriser d'ailleurs puisque tu erres à présent dans la nature et que tu ne sais pas encore comme te soigner correctement.


Histoire

De tes yeux encore plein d'innocence, tu regardais les mouvements lestes de ton père. Ce dernier un magnifique hybride tigre te semblait immense et si fort, toi petit tigreau à peine plus haut que le siège sur lequel on t'avait placé. Tu assistais pour la première fois de ta jeune vie à un combat dans une nouvelle arène, l'arène souterraine, tu n'avais pas plus de cinq ans. L'adversaire de ton paternel au bout de quelques minutes, semblait complètement terrifié et il sonnait alors sa mort prochaine. C'était violent et sanglant, aucun coup ne pouvait être pardonné. Un seul pourrait survivre. Tu percevais nettement près de toi malgré les cris de la foule, les propres mots de votre maître.

- Un jour ce sera toi à la place de ton père. Tu dois devenir aussi fort et écouter ce qu'il va t'enseigner si tu ne veux pas périr comme son adversaire. Aussi facilement que si tu étais une poupée en chiffon.

Tu ne comprenais pas le sens de ses phrases, tu étais bien trop jeune, mais tu ressentais déjà de la fierté et de l'admiration pour ton père, il était un héro pour toi, TON héro. Tu ne savais pas encore ce que c'était de tuer un autre être vivant, mais tu l'apprendrai bien assez tôt ...

Tu as vu le jour dans le ludus de ton maître. Ce dernier d'origine italienne avait toujours été fasciné par les anciens jeux de gladiateurs de la Rome antique. Ainsi, se jouait dans sa demeure, une immense villa, la vie d'hybrides combattant, suivant un entraînement des plus rigoureux. Il était le Dominus auquel chacun d'entre-vous devait obéissance et soumission. Tu n'as pas connus ta mère, on t'avait arraché à elle juste à la fin de ton sevrage. Tu l'avais su de ton père qui malgré les risques qu'il prenait, n'avait jamais hésité à te raconter ton histoire.Ta mère, une hybride tigresse, n'était en réalité qu'une mère génitrice parmi tant d'autres. Ton père était un champion et il devait donné une descendance digne de ce titre. Tu n'étais pas le premier mais le seul présent encore dans le même ludus que ton paternel. Ce que tes frères ou sœurs étaient devenus restait un mystère pour toi.

C'est à la suite de ce combat auquel tu avais assisté dans l'arène l'année de tes cinq ans, que débuta ton entrainement. Il fallait avant tout renforcer ton corps, tu avais droit à des exercices chaque jour aux même heures, le même rituel. De la respiration, des étirements, de l'endurance, on te faisait beaucoup courir. Ça ne te déplaisait pas vraiment, tu rêvais de devenir aussi fort que ton père que tu admirais tant. Ton physique différait, contrairement à lui, tu ne présentais pas d'oreilles mais tu avais les même capacités de chasse ou de combat. Des crocs et des griffes rétractiles, ainsi qu'une queue zébrée jaune et noire. Au début, tu avais eu des difficultés à apprendre à les rentrer tout comme les jeunes félins. Mais au fur et à mesure, tu comprenais mieux leur fonctionnement et tu t'amusais même avec. Tu étais si jeune à l'époque, cet entraînement était pour toi plus un jeu. Jamais tu ne remettais en question l'autorité de ton Dominus qui finalement semblait t'apprécier pour ta vitalité.

C'était plus les autres jeunes combattants comme toi qui te menaient la vie dure. Tu était le fils du Doctore, ton père, qui vous enseignait à tous le combat. Pourtant, tu n'avais aucun traitement de faveur, bien au contraire, ton paternel t'entraînait parfois tard le soir alors que tous se reposaient. Combien de fois se sont-ils mis à plusieurs pour te faire mordre la poussière ? Il t'arrivait de pleurer la nuit dans ta couche, ton père n'en a jamais rien su car tu te gardais bien de le lui avouer. Un jour, tu les battrais tous, du moins tu faisais tout pour y arriver.

A l'aube de tes douze ans, tu devais passer ta première épreuve de combat. Cette dernière avait lieu au sein du ludus lui-même mais elle reconstituait les mêmes conditions qu'en arène. Bien sûr, vous ne deviez pas donner la mort à l'un de vos "frères". Mais celui qui gagnerai aurait l'honneur de porter la marque de son maître ainsi que celui d'être enfin envoyé en arène pour de vrais combats. D'après vous c'est jeune douze ans ? Pas dans ce monde-là. Tu as été le dernier à passer, vous étiez les deux derniers combattant de votre catégorie. Un canidé contre toi. Au début, il a rapidement pris le dessus sur toi, mais alors que le combat semblait perdu d'avance, les pics qu'il te lançait réveillèrent en toi cette impulsivité qui deviendrait légendaire par la suite. Tu avais alors grimpé en t'aidant de tes griffes sur une colonne en bois avant de te jeter sur ton adversaire toutes griffes dehors. Tu les avais planté dans la peau tendre de ses épaules et tes crocs était à présent sur sa gorge. La moindre pression et tu atteignais la jugulaire. Tu t'étais arrêté à temps en entendant ton père. Tu avais gagné et la technique que tu avais utilisé ce jour-là allait être la tienne durant tes futurs combats dans l'arène.

C'est quelques mois plus tard que l'occasion de prouver ta valeur en foulant ce sable se présenta. Tu allais affronter un jeune bovidé, guère plus âgé que toi mais bien plus imposant par la taille et le poids. L'odeur qu'il dégageait te faisait saliver, tu ne pouvais réprimer tes instincts de prédateur. Pour ton premier vrai combat, tu étais plutôt mal tombé. Tu ne pouvais qu'esquiver les coups qui semblaient pleuvoir autour de toi. Certains te frappant lorsque tu baissais trop ta garde. Une force qui te coupais le souffle à chaque fois. Ton adversaire semblait agacé par tes esquives à combattre. Il te fallait du temps. tu devais réfléchir à un moyen de faire tomber cette masse. Tu finis par trouver une solution, tu avais espéré que ça marcherait. Tu avais alors provoqué le bovidé avec ton sourire narquois, mais lorsque qu'il fonça sur toi, il était déjà trop tard pour lui. Tu venais de t'écarter de son chemin mais derrière toi se trouvait le mur de l'arène que ton adversaire se pris de plein fouet. Il était sonné, pas inconscient mais suffisamment déséquilibré pour que tu effectues cette fameuse technique. En quelques secondes tu étais sur son dos, tes griffes s'y accrochant pour ne plus le lâcher. Tu visais sa gorge et malgré le fait qu'il se débattait, tu finis par l'atteindre. Cette fois-ci tu savais que tu ne devais surtout pas t'arrêter. C'était lui ou toi ... Il s'accrocha longtemps à la vie alors que tes crocs étaient plantés dans sa jugulaire. Tu sentais le sang affluer dans ta gorge, un goût métallique mais pas désagréable. tu ressentais nettement les pulsations de son cœur ralentir de plus en plus, jusqu'à ce qu'enfin au bout de cinq bonnes minutes, ton adversaire s'écroula sur le sable entaché de son sang. Tu avais réussi à survivre à ton tout premier combat et tu avais tué le premier être vivant, un hybride et un combattant tout comme toi.

En rentrant au ludus ce soir-là tu t'isolais et ton père ne mit pas longtemps à venir te trouver. Il te félicita mais tu ne pu t’empêcher de lui avouer tes doutes. Il t'expliqua alors sa vision des choses. Pour lui, mourir dans l'arène en étant un combattant était un honneur, car mieux valait mourir sous les coups d'un des siens en combattant dignement plutôt que sous ceux d'un maître en étant pieds et poings liés. Ce jour-là tu avais appris deux choses, l'honneur, mais aussi la valeur de la vie. Tu savais à présent que tu ne devais pas tuer par plaisir ou gratuitement. Ôter la vie à plusieurs personnes, c'est autant d'âmes qui viendraient te hanter. Tu en avais tout à fait conscience.

Plus les années passaient plus tu gagnais en taille et en force. Ton corps se sculptait pour devenir athlétique. Ton maître dans les rassemblements, disait de toi que tu étais son futur champion et tu faisais tout pour le satisfaire. Tu t’entraînais toujours très dur jusqu'à tard le soir. Il y a une chose cependant que tu n'arrivais pas à cerner, c'était ce regard triste que tu lisais souvent dans le regard de ton père. Pourquoi ? Lui aussi était un champion invaincu qui à présent avait l'honneur de former les plus jeunes d'entre-vous. Tu ne comprenais pas encore, tu étais jeune, plein d'entrain et un peu naïf quand il s'agissait des humains. Au final, tu avais été trop bien dressé.

Vers l'âge de 16 ans, un événement chamboula ta vie. Ton maître décida de vendre ton père au propriétaire de l'arène souterraine contre une belle somme d'argent. Ton paternel avait encore beaucoup de valeur malgré les années qui s'étaient déjà écoulées pour lui. Tu ne comprenais pas cette décision de la part de ton maître et ce jour-là tu te rebellas. S'en suivie une belle punition où tu pris conscience que dans tous les cas, ta vie d'esclave ne t'appartenais pas. Tu appris un peu plus tard qu'en réalité, ton maître avait de grosses dettes envers le propriétaire de l'arène, pour la régler il avait choisi de vendre ton père plutôt que toi. Tu valais plus cher encore que ton paternel bien que tu n'en avais pas vraiment conscience. Voilà pourquoi tu étais resté au ludus. Mais tu savais de notoriété que le propriétaire de l'arène n'était pas le maître rêvé et tu t'inquiétais pour ton père. Tu devins plus solitaire que jamais et pour ajouter à ce supplice, ton maître décida qu'il était temps pour toi de produire de futurs champions à ton tour.

Tu avais donc à peine 18 ans que la première hybride femelle partagea ta couche. C'était gênant, déroutant. Tu n'étais pas à l'aise du tout avec ça. Quelque chose manquais à tes yeux, un peu de sentiments ? On pouvais dire que tu étais semblable à un étalon. Tu avais bien compris que tu ne pouvais pas te permettre de refuser. Pour ta vie mais aussi pour celle de ta partenaire. Les mois, les années passèrent ainsi au gré des saillies et des combats, entre la sueur, le sang et le sable. Le propriétaire de l'arène te convoitait toujours, tu le savais et plus encore depuis que ta notoriété avait fait de toi un champion d’exception. Une célébrité dont tu te serais bien passé vis à vis de tes "frères". Les autres hybrides nourrissaient de la jalousie envers toi. Il faut dire aussi que tu avais des privilèges qu'ils n'avaient pas, en plus d'être proche de ton maître. Tu le respectais au final. Il n'était pas si mauvais, moins que certains autres humains en tout cas.

Une ultime épreuve t'attendais pourtant ... Tu viens d'avoir 21 ans et il y a quelques jours, ton maître a pris une décision qui t'as choqué lorsque tu l'as vu face à toi dans l'arène. Il avait demandé à y combattre contre toi. Pourquoi ? Était-il devenu fou ? Et toi, allais-tu te laisser tuer pour ne pas être inquiété ou bien voudrais-tu survivre par tous les moyens ? Le début du combat fût donc houleux puisque tu te contentais d'esquiver l'arme qu'il tenait en main. Un glaive bien sûr, lui et son amour pour la Rome antique. Il avait réussi à te blesser à plusieurs reprises, mais des plaies superficielles qui pourraient se refermer facilement, bien que les cicatrices témoigneraient de cet affrontement. Mais à un moment ton maître te fît prendre conscience que ta propre vie était en jeu et qu'il ne voulait pas que tu retiennes tes attaques. Il avait enfin l'occasion de te voir à l'oeuvre de la meilleur place possible. Tu pensais qu'il était devenu fou. Tu as donc attendu qu'il s'épuise, puis tu utilisas ta technique, mais il était ton maître et l'avait prévu, dirigeant sa lame vers toi, tu eu juste le temps de te déporter pour l'éviter. Tu avais un autre atout que tu n'avais pas encore démontrer. Tu es un tigre après tout, un prédateur capable d'une pointe de vitesse sur une courte distance. C'est exactement ce que tu fis. Une fois la lame esquivée, tu bondis pour te retrouver dans le dos de ton maître, le saisissant de tes crocs par la nuque. Tu lui fît lâcher son glaive, puis tu le plaqua au sol, lui lâchant la nuque pour te retrouver face à lui. Tu hésitais à lui donner la mort. Mais il t'en persuada en te confessant qu'il était mourant. Qu'il préférait mourir là dans cette arène en combattant, que dans un lit d'hôpital en souffrances inutiles. Il avait un cancer à un stade avancé et une belle tumeur au cerveau. Tu ne comprenais pas ce que c'était ni comment cela pouvait se soigner, mais ce jour-là tu exécutas son dernier ordre, celui de lui donner la mort.

Aussitôt à la fin de ce combat, tu avais conscience que tu étais un hybride "sur le marché" puisque ton propriétaire était mort, tu t'es donc enfuis dans la peur de te retrouver sous le joue du propriétaire de l'arène. Mais cette dernière n'avait pas fini de t'appeler, toi le champion ...

Que vas-tu devenir à présent ? Devenir sauvage ou décider d'avoir de nouveau un maître ou une maîtresse ? Tu ne veux surtout pas appartenir à CET humain, mais tu veux en faire sortir ton père que tu croises de temps en temps sans pouvoir lui parler. Tu veux toujours être un champion, ne pas quitter les combats. Tu n'aimes pas forcément tuer, mais tu aimes cette gloire. Beaucoup de chemins s'offrent à toi mais lequel vas-tu emprunter ?


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Autres : Informations à retrouver sur la fiche d'Athenais ^^
Question  : Pour quelle raison un humain peut-il être asservi ?
Réponse à la question :


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