Fiches personnages

KAORI AOKI OU LF8-622 (♀)

03/03/2000, LIEU INCONNU • ORIGINE INCONNUE • ORIENTATION SEXUELLE NON DÉFINIE • LYCÉENNE • KAGUTSUSHI • ASUNA YUUKI DE SWORD ART ONLINE

Psychologie : Par où commencer en ce qui concerne Kaori, cette jeune fille au caractère bien trempé. La vie ne lui a pas laissé beaucoup d'alternative. Elle a forgé sa personnalité au gré des épreuves mais surtout pour sa sœur jumelle, Kaoru. Si vous abordez Kaori pour la première fois, pas sûr que vous voudrez faire plus ample connaissance. Effectivement, la jeune fille est farouche, n'acceptant même pas qu'on la touche (la bise ou les câlins, très peu pour elle), une vraie sauvage jusque dans ses propos qui peuvent être agressifs et sont souvent directs, parfois blessants. Elle a sa langue bien pendue, prête à vous dire vos quatre vérités et peu user d'un langage grossier, indigne d'une jeune fille. Si vous osez poser la main sur elle ou sa sœur, elle n'hésitera pas à user de la violence, ne sachant que s'exprimer avec les poings ou sa magie bien sûr. Ce n'est pas tant qu'elle est méchante, elle est juste protectrice envers Kaoru qui est plutôt fragile. Le problème, c'est que ce comportement l'empêche de se faire des amis, souvent les autres n'osent pas chercher plus loin, de peur sans doute. Kaori est donc plus ou moins solitaire, du moins elle s'en contente car elle est inséparable de sa jumelle pour autant. Même si il leur arrive de se chamailler, elles ont un lien particulier qui les unit. Vous l'aurez compris, la demoiselle n'a pas une grande patience et s'emporte donc rapidement, seule Kaoru parvient à la calmer. Elle est aussi la seule à la voir sous un autre jour. Kaori, en présence de sa jumelle, est une jeune fille gaie, parfois même un peu perverse et surtout très altruiste et généreuse. Cependant, elle n'a aucune idée de ce qu'elle fera plus tard, quel métier. Elle pourrait être une bonne élève si elle travaillait un peu, ce qui n'est évidement pas le cas. Soit elle sèche les cours, soit elle perturbe la classe. Sa philosophie ? elle n'en a pas, elle vivote dans ce monde, sans se soucier de personne d'autre que de sa jumelle.
Kaori a une peur bleue des araignées et des insectes en général. Dès qu'elle en voit, elle devient une petite fille, s'enfuyant, se cachant derrière sa sœur, ou grimpant sur quelque chose pensant que ça la sauvera de la bestiole. Sa plus grande obsession (si l'on peut dire) est qu'elle est paranoïaque. Elle voit le mal partout surtout autour de sa jumelle. Ce qui fait d'elle, quelqu'un de très méfiant. Elle est aussi surprotectrice ce qui n'est pas pour plaire à tout le monde et surtout, elle s'emprisonne ainsi dans ce lien fraternel, ne laissant pas beaucoup de place pour d'autres personnes. Kaori a une petite manie qui peut agacer certains. Vous la verrez souvent jouer avec une pièce de monnaie, la faisant rouler d'avant en arrière et d'arrière en avant sur les doigts de sa main droite. Ce geste la canalise parfois, mais si vous la voyez arrêter ce geste brusquement, c'est que le feu couve et qu'il vaut mieux pour vous de prendre vos distances.

Physique : Kaori est une fille, non sans blague. Ça peut sembler évident dit comme ça, mais elle a plutôt les gestuels, le comportement d'un garçon manqué. Au premier abord pourtant, elle a tout du physique féminin. D'une taille moyenne, 1m66, elle est svelte, avec des formes généreuses, mais non proéminentes. Cependant, elles sont souvent dissimulées sous son style vestimentaire. Kaori n'a jamais pu se résoudre à couper ses longs cheveux qu'elle coiffe avec deux tresses de chaque côté puis qu'elle lie à l'arrière de sa tête. Ils s'arrêtent en bas de son dos, juste au-dessus de ses fesses légèrement rebondies. Des mèches de cheveux rebelles encadrent son visage. Ces derniers sont très fins, raides châtains. En les touchant, on pourrait les comparer à de la soie. Sa peau est très clair, un peu comme de la porcelaine. Avec ce teins, elle ne bronze pas, mais prend des coups de soleil en rougissant comme une écrevisse. Son regard est souvent renfrogné, une attitude rebelle qui s'explique par son caractère. Ses iris d'une couleur noisette, s’éclaircisse légèrement à la lumière du soleil. Ses yeux sont surmontés de cils longs et de sourcils fins. Sa bouche parfois gercée à force de la grignoter, est mince et petite, mais reste bien rose. Kaori a beau être mince, elle est aussi un peu musclé et ça se remarque, surtout lorsqu'on la compare à sa sœur jumelle. Elle est tout simplement plus imposante, un peu plus lourde aussi, atteignant les 50 voir 52 kg. Ses jambes sont plutôt longues et fines, elles sont son point faible, même si elle fait tout pour le cacher. Ses genoux, surtout ses rotules présentent une malformation, qui, si elles ne sont pas retenues par des genouillères, risquent de provoquer des entorses qui peuvent alors mettre à terre cette racaille en herbe. Pour finir cette petite description et si un jour vous avez l'occasion de le remarquer, bien que ce soit improbable, Kaori porte un tatouage, situé sur son sein gauche.
Kaori a un style vestimentaire qui s'associe plutôt bien avec son caractère, mais qui peut changer selon son humeur du jour. C'est simple, soit vous la verrez vêtue de cuir, soit avec un sweat et un pantalon larges, soit durant l'été, en débardeur et short court. La plupart du temps, elle porte des baskets ou tennis, mais il lui arrive à l'occasion et plutôt rarement de mettre des bottines à talons hauts, ce qu'elle appelle des "écrases merde" et ça peut faire mal quand elle frappe quelqu'un avec. Au niveau de ses couleurs vestimentaires, peut importe, tant que ça s'associe bien. Kaori a quand même une préférence pour porter du bleu et du noir et vous ne la verrez jamais habillée de jaune, elle déteste cette couleur. Des robes, des jupes ? Vous rêvez si vous voulez que Kaori en porte. Cependant, pour sa sœur, Kaoru, elle serait capable de faire une exception. Les deux jumelles ont un style vestimentaire très différent, la seule chose avec leur comportement qui peut permettre de les distinguer, sauf si elles s'amusent à vous jouer un tour en échangeant leur rôle.


Histoire : (Pour en savoir plus sur l'histoire de Kaori et pour bien la débuter aussi, je vous conseil de vous reporter à l'histoire de sa jumelle, Kaoru et de lire nos deux histoires en parallèles.)

Tu es née dans un endroit vraiment hors du commun, mais tu aurais préféré naître comme la plupart des bébés dans un hôpital ou dans le domaine familiale. Le destin en a voulu autrement. Tu n'avais pas de nom, ta sœur jumelle, plus jeune que toi de 4 min, n'en avais pas non plus. Tu étais simplement LF8-622 et elle LF8-623. D'où ces caractères bizarres sortaient ? Tu n'en as aucune idée, même encore aujourd'hui.


Bien sûr, au début ta vie avait été relativement normale. Des gens en blouse ou en uniforme, s'occupaient de toi et de ta jumelle. Ils évitaient soigneusement de vous séparer. Pourquoi ? Tu ne le savais pas, tu n'étais qu'une enfant, avec pour seule préoccupation de jouer. Vous n'étiez pas les seuls enfants, il y en avait d'autres avec vous, plus ou moins âgés. On vous mettait dans des pièces de jeux ou des classes lorsque ta jumelle et toi aviez atteint un âge plus avancé. Vous ne connaissiez rien de l'extérieur, du moins rien en dehors de ce bâtiment qui semblait si étendu à l'époque. Avec les cours, tu as appris à lire, bien sûr, mais surtout tu t'intéressais à tout. Les livres étaient pour toi une source d'informations sur le monde extérieur. Tu as vite développé une passion pour les différents pays, leur culture, leur histoire et surtout leur langue. Âgée de 9 ans, tu étais déjà capable de répondre à vos surveillants en anglais bien sûr, seule langue parler en ce lieu, mais aussi en français et en italien. Tu ne maîtrisais pas tous les rouages, mais tu te débrouillais. Un jour, ta sœur t'as fait découvrir les mangas et à ce moment-là, tu t'es fortement intéressée à tout ce qui pouvait toucher de près ou de loin au Japon. C'est à partir de là que tu as commencé à l'étudier, cependant ce n'est pas une langue facile et tu as dû travailler avec acharnement.

(cf Histoire de Kaoru)

Tu ne te rappelles plus exactement quand les adultes autour de vous ont commencé à vous emmener toi et ta sœur dans des pièces un peu étranges où il n'y avait pas beaucoup de meubles ou d'objets, tout ça pour te demander d'utiliser ce feu que tu savais déjà en toi. Cela faisait un moment que tu avais manifesté ton pouvoir pour la première fois, mais seule Kaoru en avait été témoin à l'époque. Les gens autour de vous n'étaient pas au courant et l'avait découvert un peu plus tard. Mais revenons à ce jour fatidique. Kaoru et toi étiez à ce moment-là de jeunes adolescentes, vous n'aviez pas plus de onze ans. Régulièrement, vous veniez dans cette pièce, ensemble. Bizarrement, ta jumelle ne semblait pas avoir de capacités comme toi en elle. Pour toi, c'était comme la routine, tu avais juste à t'amuser à cramer des objets que tu devais prendre pour cible en te servant de tes boules de feu. Avec l'âge, tu maîtrisais de mieux en mieux ta magie. Les extincteurs au plafond ne s'étaient pas déclenchés depuis longtemps car il suffisait d'un extincteur manuel ou d'une couverture. D'habitude, il se contentait de demander à Kaoru de se concentrer pour manifester son pouvoir, mais rien y faisait. Encore une fois, ce jour-la se fût un échec. Seulement, leur patience semblait avoir atteint sa limite et il se sont mis à la bousculer un peu pour la forcer. Ta jumelle, déjà tellement fragile, te regardait et tu avais compris son expression, son ressentiment de terreur et d’oppression.

- Il est où Doudou, j'ai peur ... Ri, je ne comprend pas ce qu'ils veulent !

Tu n'avais pas besoin de plus d'indications pour te persuader que tu devais faire quelque chose pour les détourner de ta sœur. Tu te devais de la protéger. Mais tes boules de feu ne surprenaient plus vraiment. Il t'a fallu un certain temps pour trouver une solution, la mettre en application aussi, de la concentration mais ça ne marchait pas et ta sœur s'est mise à pleurer, sûrement de peur. Tu ne t'es alors plus contrôlée, ce qui était relativement rare. Tu as froncé les sourcils et tu les as menacé.

- Arrêtez ! Vous l'effrayez ! Elle peut pas faire du feu !

Tu t'es alors littéralement embrasée sous leurs yeux. Leur attention était détournée. Le feu léchait ton corps tout entier sans le consumer. C'était une première pour toi, tu te sentais alors puissante tout à coup. Tu regardais tes mains, tes bras, tes jambes, tes pieds, tous tes vêtements avaient été dévorés par les flammes, mais ces dernières ne te quittait pas. Les extincteurs au plafond se sont alors actionnés, mettant fin à ton nouvel exploit. Mais alors que ton feu s'éteignait et que tu étais trempée et nue, tout ce qui t'importait, c'était le fait d'avoir réussi à protéger Kaoru. De l'autre bout de la pièce, tu lui as lancé un clin d’œil tandis que ta jumelle te lançait un sourire.

(cf Histoire de Kaoru)

Tu avais commencé à devenir farouche et à te rebeller, tu n'avais absolument plus confiance envers ces gens qui vous ont élevé toi et ta jumelle. Ce qu'ils lui avaient fait dernièrement t'as fait devenir méfiante. Tu t'étais décidée à protéger Kaoru quoiqu'il se passerait. Nerveuse, tu avais alors développé cette manie qui ne te quitterait plus par la suite, celle de faire rouler  consentement une pièce entre les doigts de ta main droite. Ta soeur, elle, était devenue encore plus fragile depuis cet accident. Elle ne se déplaçait quasiment plus qu'en fauteuil roulant. Mais ce n'était pas tout. Depuis ce jour-là Kaoru présentait une grande brûlure sur sa hanche. Autour de toi, tous ces gens qui t'avaient déçu, t'accusaient d'en être la cause. tu aurais donc accidentellement et en voulant la protéger, blessé et brulé ta jumelle. Tu culpabilisais beaucoup à ce sujet, mais tu te gardais bien de le mentionner à Kaoru, encore aujourd'hui. Vous étiez dans une petite cours, seul endroit grâce auquel vous pouviez profiter de l'air frais et d'entendre des oiseaux chanter. Tu aurais tant aimer avoir des ailes comme eux pour t'enfuir de ce lieu maudis.

- J'aimerai être un oiseau ... Avais-tu dis sans t'en rendre compte à voix haute.

- Et moi un dragon pour tous les brûler un par un et t'emmener avec moi aussi loin que possible.

- Je suis le dragon mais on m'a coupé les ailes. Enfuyons-nous Kaoru, le monde est si vaste, il y a tant à découvrir !

- Où tu iras je te suivrais.

Tu n'avais pas reparlé de cette idée de vous enfuir pendant un bon moment avec ta jumelle. Mais le désir de le faire quoiqu'il en coûte était bien présent.

(cf Histoire de Kaoru)

La tentative d'évasion que vous aviez planifié avec Kaoru avait lamentablement échouée. Et pour vous punir, aussi à titre d'exemple, on vous a enfermé dans une cellule sans fenêtre, petite et bien sûr suffisamment bien protégée face à tes flammes. Ta jumelle a fini pas s'endormir à tes côtés mais toi, tu peines à trouver le sommeil. Tu es inquiète et furieuse en même temps. Mais la fatigue l'emporte et tu finis par rejoindre Kaoru dans les bras de Morphée. C'est la brise fraîche caressant ton visage qui te réveille. tu ouvres alors les yeux sur une plage.  Derrière toi, se tiennent des bungalows. Tu ne connais pas cet endroit bien sûr, tu n'es jamais sortie du complexe où tu te trouvais. Pourquoi, par qui et comment t'es-tu retrouvée ici ? tu te le demandes mais très vite la question de savoir où est passé Kaoru prend toute ton attention. Tu la cherches du regard, elle n'est pas à tes côtés et tu commences à paniquer, l’appelant. Soudain, tu aperçois une silhouette marron dans le sable, ne ressemblant pas à grand chose. Tu t'approches et attrapes dans tes mains le doudou crasseux et vieillot de ta jumelle. Elle ne peut pas être loin, elle ne quitte jamais ce satané renard en peluche. Tu cherches un peu plus loin, remarquant des valises, des valises ?! De plus en plus étrange cette histoire. Sous un arbre, un peu en retrait, près de la dune de sable, tu la retrouves enfin. Sur son ventre est posée une lettre, okay ... Pour l'heure tu te contentes de réveiller Kaoru.

- Réveilles-toi Ru ! Comme elle a du mal à émerger, tu lui met quelques claques sur les joues.

- Hmmmm ... arrêtes méchante ... Il est où doudou ?

- Il est là, mais réveilles-toi, regardes, on est plus en enfer ! Par contre ... je sais pas où on est ...

- Hein ?! Kaoru ouvre alors les yeux sur toi, puis regarde autour d'elle. Du vrai sable ? Oh mon Dieu ... Tu t'es transformée en dragon et tu nous as amené là ?

- Pffff, mais non, t'es bête, je suis pas une Déesse.

- Je t'aime.

Kaoru te prend alors dans ses bras sans que tu ne saches trop pourquoi et elle te remercie, bien que toi, tu sais pertinemment que tu n'y es pour rien dans cette histoire. Que va t'il advenir de vous à présent ? Y a t'il quelqu'un pour vous guider ? Répondre à vos questions ?

KAORU AOKI OU LF8-623 (♀)

03/03/2000, LIEU INCONNU • NATIONALITÉ INCONNUE • NON-DÉFINIS • LYCÉENNE • KAGUTSUCHI • ASUNA DE SAO

Psychologie : Née de faible constitution et atteint d'une défaillance immunitaire, Kaoru n'eu pas vraiment de chance. Naturellement calme et douce, elle ne force jamais sur son corps instable qui a tout instant pourrait s'affaisser. Elle a appris a vivre avec ses qualités comme ses défauts. C'est une jeune fille naïve qui ne vois jamais le danger autour d'elle comparée à sa sœur jumelle complètement paranoïaque. Une jeune fille naïve qui pourtant n'a aucun mal à se faire des amies, bon ou mauvais... Il n'est pas rare que la jeune demoiselle tombe dans les embuscades des autres, étant à chaque fois prête a tout pour les personnes se disant être sont "ami", elle fait rapidement confiance aux inconnues, un défaut qui pourrait parfois lui coûter chère si sa soeur n'était toujours pas derrière-elle.

Mais étant très ouverte sur n'importe qu'elle sujet de par son côté altruiste, il ne serait pas difficile de qualifier la demoiselle d'intello, ce n'est pourtant pas le cas. Sa simple fragilité l'obligeant à s'occuper avec des livres au lieu d'arpenter on peu plus les rues avec ses amies a moins d'être en fauteuil roulant. Elle a un côté enfantin très prononcé, elle trimbale encore sa peluche avec elle et parle souvent comme une enfant. En parlant de ses passions, Kaoru adore la sculpture et désirerait en faire son métier. La demoiselle a une assez bonne perception du toucher et rien que de fermer les yeux et de parler de simples objets lui permettent d'enregistrer chaque détail pour ensuite y reproduire en art. Kaoru a une assez bonne perception des choses, ses mains étant ses principaux outils... Bien que sa mauvaise manie de toujours toucher a tout finissent malencontreusement en mains baladeuses. Ce qui reste étonnant chez cette Kagu est sa frilosité, Kaoru a toujours froid et a un besoin constant de sentir la chaleur que émet sa soeur pour se sentir on peu mieux.

Il ne faut pas aller plus loin pour comprendre que chaque être humain à des manies ou des obsessions dans la vie. Kaoru elle, a cette mauvaise manie de toujours toucher a tout ainsi qu'a ses cheveux, ces derniers étant déjà de nature grasse, cela n'arrange pas vraiment les choses, forçant la demoiselle a souvent lavé ses cheveux pour paraître propre. Quant à ses peurs les plus profondes, les vers et les asticots lui suffissent a tomber en larme, elle tient cette phobie de nombreux films où les animaux rampants sortants des orifices d'hommes ou d'animaux, mais plus étrangement Kaoru ne supporte pas que l'on lui présente devant elle des "éclairs au chocolat" et en manger la répugne encore plus, va savoir pourquoi... Kaoru par la suite n'as pas vraiment d’obsession si on ne rentre pas dans les détails, elle aime jouer à des jeux dangereux, elle a beau avoir un visage d'ange, la jeune demoiselle cache bien son jeu.

Physique : La fragilité est bien le terme que tout le monde utilise en voyant ce corps frêle, fait d'une matière très délicate. La jeune demoiselle ne montre aucun signe de fermeté, sont corps à peine bâti d'un petit 1m60. Vous l'aurez bien évidemment compris, Kaoru est une fille chétive qui ne fait pas peur a grande monde par apport a sa sœur jumelle. Le manque constant de dynamisme et sont petit appétit, on fait d'elle une femme bien sûr sustentatrice de forme féminine, mais d'un poids inquiétant, vous pourriez nommer Kaoru de fille anorexique, ce ne serait pas mentir de ce qu'elle ai réellement. Kaoru a un visage angélique surmonté d'un nez fin et des lèvres juteuses que l'on voudrait goûter aux moins une fois dans sa vie. La demoiselle dispose de bras comme de jambes assez fin, le moindre effort affaiblissant le reste de son corps. Le long de sa hanche, la demoiselle a une violente brulure dû à un passage difficile et douloureux de son passer. Mais sans vous en soucier, vous retrouverez souvent Kaoru en fauteuil roulant, sa faible constitution faisant d'elle une handicapée a part entière. Mais cette dernière comme sa sœur dispose d'une chevelure douce et soyeuse s’arrêtant en bas de son dos. Ceux-ci étant d'une simple couleur châtain claire. Les cheveux de Kaoru sont donc coiffés de deux tresses qu'elle relie a l'arrière de son crâne, mais comparer à sa sœur jumelle, Kaoru laisse ses cheveux détachée, les laissant retomber du côté droit de son épaule. Les yeux de la jeune fille, quant à eux, sont d'une simple couleur noisette, s’éclaircissant parfois a la lueur du soleil. Comparée aux autres filles de son âge, Kaoru ne dispose d'aucuns piercing ou tatouage, n'ayant même pas de boucle d'oreille, elle a toujours désirée rester le plus simple possible même si parfois l'envie de faire comme sa sœur lui prend instantanément. Pour ce qui est du maquillage, Kaoru en porte quelques fois, un maquillage très léger aux niveaux de ses yeux, rien de plus.

Etant naturellement plus féminine que de sa sœur jumelle, Kaoru prend plaisir a s'habiller de simple vêtement comme de robe où bien de jupe. Elle ne part pas exclusivement dans le "mignon" où l'extravagant" restant avant tout une fille simple de nature. Elle porte toujours des couleurs en rapport avec les saisons ou le temps dehors ; portée du noir en faisant un magnifique soleil reste une idée idiote. Elle n'a pas de couleur préférée comme de couleur haïssable, elle porte souvent un ruban ou un nœud dans ses cheveux, une petite touche a elle. Pour les chaussures, elle s'assure de toujours mettre quelque chose qui s'accorde avec sa tenue du jour ; des ballerines, des tennis ou tout simplement des baskets. Kaoru n'a pas encore défini sont propre style, elle observe et copie sa sœur comme certaine fille dans les magazines. Comme dans le passé, il arrive parfois à Kaoru de piquer quelque habit a sa sœur pour se faire passer pour elle.

Histoire : Née on ne sait où, d'on ne sait qui et avec une déficience immunitaire dans un endroit qu'elles ne connaissaient pas, n'avoir jamais mis le nez dans le monde extérieur... Un endroit où elles ont grandient, un endroit qui les horripilaient encore à l'heure d'aujourd'hui.

Dans cet endroit, je m'appelle LF8-623 et ma sœur jumelle LF8-622. Nous avons toutes les deux vécu dans cette endroits avec d'autres enfants, ont nous a appris à lire, écrire... Tout semblait magnifique jusqu'à que les années passent...

Encore une fois isolée pendant que les autres enfants jouaient au ballon dans la salle de sport, je m'étais plongée dans l'immense bibliothèque à la recherche d'un livre à lire. J'étais friande de lecture, mais cette fois une petite BD avait attiré mon attention. Les dessins étaient plutôt beaux, mais je n'avais pas tout de suite compris pourquoi le livre était à l'envers... C'est en ouvrant ce dernier que je compris le sens de lecture un peu particulier. Assise sur une chaise, il n'y avait aucun bruit autour de moi, j'étais plongée dans mon histoire alors qu'un bruit de porte retenti ainsi que des cris. Tournant la tête, j'avais pu apercevoir ma sœur revenir en sueur, leur jeu semblait avoir pris fin. Avec un large sourire, j'avais déposé le livre sur la table, ma peluche sur mes genoux.

Ma sœur semblait avoir un objet dans la main, curieuse, je m'étais redressée de ma chaise prenant ma peluche contre moi, mais un jeune garçon fit sont entré en essayant de prendre à ma jumelle sont jouet, mais le garçon attrapa sont poignet. Le visage de ma jumelle commençait doucement de passé au rouge, cela sonnait dangereux...

« Lâche-moi espèce de caca boudin... » dit-elle en fronçant les sourcils, son visage devenait de plus en plus pivoine.

Je m'étais mise à les regarder avec amusement. Dans la main de ma sœur j'avais aperçu une petite boule de feu qui se mit à rebondir sur le bras du jeune garçon qui criait de peur. Riant aux éclats, je m'étais mise à frapper dans mes mains, lançant ma peluche sur le garçon avant que celui-ci parte la queue entre les jambes.

« Il a eu peur de mon doudou ! » dit-je en riant et en frappant de nouveau dans mes mains.

« N'importe quooooi ! Sui aurait peur de ton doudou qui pue... c'est ma bouboule qui lui a fait peur ! »

« Non c'est pas vrai, t'es une menteuse ! Et bah même que doudou y vas te faire un caca sur la tête ! »

Les deux soeurs partirent alors sur une dispute à coup de doudou, leurs cries devenant strident une gardienne était intervenue pour les séparer et les calmer chacune dans leur coin.

Des mois plus tard, notre héroïne s'était-on peu plus intéressé à l'univers de ces petites BD nommées "Manga". Elle avait lu des centaines de livres sans pourtant que sa sœur ne s'intéresse à ce qu'elle faisait. Entre les romans que la demoiselle finissait en une semaine et des mangas en quelques minutes, il fallait croire qu'elle passait sa journée à lire. Mais il n'y avait pas de quoi se morfondre, elle ne pouvait pas faire grand chose avec ses problèmes de santé.

Assise sur mon lit au côté de ma jumelle plongée dans ses livres de planète, j'avais déposé ma tête sur son épaule ma peluche contre moi. Fermant un instant les yeux, je me demandais comment cette dernière pouvait tant aimer ce genre de livre. Il n'y avait aucun bruit, cela devenait oppressant et je n'avais plus aucun livre à me mettre sous la dent, quoi que... Redressant la tête, je déposai ma main sur le livre de ma sœur pour le fermer.

« Arrête de lire cette merde sérieusement... j'ai plus intéressant, je reviens » dit-je en me redressant ma peluche dans la main, attrapant alors un manga que je n'avais pas encore lu dans ma main « C'est l'histoire de deux jumelles, ça te dirait de le lire avec moi ? » dit-je en souriant, secouant bêtement ma peluche devant ma sœur.

« C'est pas de la merde, c'est intellectuel tu peux pas comprendre. Vas y dépêche toi comme ça je retourne dans mes bouquins »

« Toi intellectuelle, c'est moi le cerveau dans cette chambre... Tu rigoles là ? Bon allez, bouffe-moi ça, tu vas aimer »

« Mouais... comment ça se lit ton truc ? » dit-elle en soupirant ouvrant le manga à l'envers

« Déjà ce n'est pas comme ça... » Je pris le manga entre mes mains pour l'ouvrir du bon côté « Lis de droite à gauche, comme ça... » dis-je une nouvelle fois en indiquant le sens de lecture avec mon doigt.

Pendant cette journée, les deux jumelles avaient lu le manga en entier. L'histoire avait été intéressante aussi bien que les deux jeunes filles avaient continué de lire les tomes suivant ensemble. Cette histoire entre deux jumelles avait inspiré les deux demoiselles, Kaori et Kaoru voilà comment se prénommait t'elles, comme les deux jeunes filles de ce livre. Il n'était plus question d'LF8-... Désormais, elles étaient Ri et Ru.

Attachée par des liens, des lumières m'éblouissant, je m'étais mise à crier de douleur alors que quelque chose transperça mon corps. Les expériences que l'on avait commencées sur moi étaient devenues de plus en plus douloureuse aussi bien que j'eusse commencé à haïr cet endroit et les personnes qui y travaillaient.

Je pouvais sentir mon corps bouillir cependant rien ne se passais. Ma sœur avait eu cette facilité à contrôler son pouvoir, ce qui n'était pas mon cas... En avais-je réellement un ? On me poussait à bout, tous les jours, le soir, j'étais épuisée, j'avais mal absolument de partout. Des expériences qui se finissaient souvent en perte de conscience. Étant déjà faible de naissance, ce genre d'expériences m'avait on peu plus fragilisée...

« Elle fait trop de bruit... bâillonner-la elle vas attirer l'attention de sa soeur » dit-il alors que je continuais de crier de toute mes forces.

« ARRETEZ J'AI MAL... RI, RI, JE T'EN SUPPLIE... » dis-je, des larmes perlant le long de mes joues alors qu'une étrange douleurs me pris au niveau de ma hanche droite.

L'expérience avait une nouvelle fois mal tournée, Kaori ayant ressenti la détresse de sa sœur jumelle était intervenue en feu prenant cette dernière dans ses bras pour attirer l'attention sur elle dans l'espoir qu'on laisse sa sœur tranquille. Épuisée et à bout de force, on avait retrouvé une étrange brûlure au niveau de la hanche de Kaoru, aussi bien qu'on jetât la faute sur sa sœur jumelle. Un mystère que personne n'avait élucidé, et pourtant voilà la première fois que Kaoru avait manifesté son pouvoir sans que personne ni elle-même ne s'en rendant compte. Sa blessure infestée de cloque avait mis un certain moment à partir, laissant une simple cicatrice. Il avait ainsi fallu d'une dernière fois pour briser en totalité la jeune demoiselle, celle-ci ne tenant maintenant presque plus sur ses jambes, Kaoru était restreinte au fauteuil roulant.

Il en était assez, je ne pouvais plus supporter toute cette souffrance. J'étais faible et ne pouvais rien faire. Plus les jours passaient et plus on me brisait. J'étais devenue un dragon à qui on avait arraché les ailes, un dragon incapable de voler, incapable de produire du feu... Ma sœur jumelle était devenue forte, bien plus forte de moi... je n'étais qu'une gamine parmi tant d'autres, je me forçais à sourire de jour en jour alors que la douleur me lasserait à chaque instant. Kaori m'avait parlé d’évasion, il était temps de mettre notre plan à l'œuvre, il n'était pas question que je reste une minute de plus dans cet endroit... Comme cette dernière me l'avait précédemment dit " le monde est vaste, il y a tant à découvrir " En soupirant, je m'étais redressée brusquement sur mes jambes qui me firent immédiatement tomber. Dans une grimace, je m'étais accrochée à mon lit pour monter sur mon fauteuil roulant, il fallait que je trouve Kaori le plus rapidement possible...

J'avais cherché un instant avant de finalement la trouver là, à lire bêtement dans la bibliothèque. Elle était devenue aussi belle que moi, nous n'étions plus des enfants même si ça ne se voyait pas chez moi.

« Nee-chan, emmène moi loin d'ici... redonne-moi le courage, je n'en peux plus... » dis-je simplement en baissant les yeux.

« Pas ici » dit-elle en me poussant jusqu'à un endroit tranquille où il n'y avait personne d'habitude « On part cette nuit, je m'occupe de tout cramer et on fonce pour trouver la sortie.

« Tu te fou de moi là... ? C'est ça ton plan... tu ne penses qu'avec ta magie ma pauvre, fait un peu marcher ta matière grise... » Je soupire en me frappant la tête « Il faut supprimer un par un les pions, en discrétion ! Donc pas de feu partout... Une batte baseball devrait faire l'affaire ou un gros bâton... Et après là, tu crames tout et on part... ok ? »

« Oui bon ok... » dit-elle en ronchonnant

La nuit tombée, les deux jumelles partirent discrètement de leur chambre, Kaori étant armée d'un énorme bâton. Kaoru l'avait simplement suivie en lui indiquant toutes les positions possibles de leur ennemie. Doudou contre elle et sa sœur à ses côtés, Kaori se sentait en parfaite protection. Avec l’aide de violents coups sur la tête ou au niveau de la nuque des pions, les deux jumelles voyaient peu à peu leur liberté se rapprocher.

[ Pour bien poursuivre l'histoire des deux jumelles, veuillez-vous référée a la fiche de Kaori, la fin vous attends là-bas ]

KAYA SAITŌ (♀)

Psychologie : Franche, Taquine, Généreuse • Taciturne, Curieuse, Têtue • Phobophobie • Se mordiller la lèvre inférieure • S'occuper d'animaux • Les hypocrites • Passion pour les animaux • Devenir vétérinaire spécialisée (animaux sauvages)

Tu as longtemps été considérée comme une fille joyeuse, amusante, sociable, populaire malgré toi. Mais tu as changé au fil des années, comme beaucoup de gens au final. Tu es restée taquine, quand tu apprécies quelqu'un, on le sait grâce à ce comportement. Tes remarques ne sont pas blessantes, tu t'amuses juste avec tes amis et ils savent que dans ces moments, il faut te prendre au second degré. Rajoutons au passage que tu es très loyale, tu ne supportes pas que l'on critique méchamment les personnes qui te sont chères.
Tant que les personnes qui te sont étrangères n'apprennent pas à te connaître, elles ne verront qu'une jeune fille aux allures timides et réservées, parfois taciturne. Dans ces moments-là tu es considérée aussi comme une fille mystérieuse, dont on ne sait pas toujours ce qu'elle pense, qui elle est, ce qu'elle peut cacher. Mais si elles s'efforcent de gratter un peu la surface, elles découvriront le vrai "Toi".
Une jeune femme bavarde, un peu trop des fois, à la limite de saouler ton entourage et passionnée. Tu t'enflâmes littéralement lorsque l'on aborde avec toi le sujet des animaux. On te surnomme parfois "Brigitte Bardeau" car tu as cette fâcheuse manie de toujours ramener pleins d'animaux blessés ou abandonnés chez toi. Ce qui ne veut pas dire que tu ne t'intéresses pas à autre chose, au contraire.
Tu es une enfant surdouée, tu aimes apprendre de nouvelles choses, tout le temps dans ton quotidien. Du coup, tu as toujours compté dans les meilleurs élèves de tes écoles et bien sûr souvent en avance sur ceux de ton âge. A 19 ans, tu vas bientôt passer ton diplôme pour devenir vétérinaire. Tu ne comptes pas t'arrêter là puisque tu veux pouvoir travailler auprès d'animaux sauvages, dans un parc animalier ou bien un zoo.
Tu es aussi connue pour ta franchise, tu ne mâches pas tes mots. Lorsque tu as quelque chose à dire, tu n'y vas pas par quatre chemins, au risque de déplaire. C'est dans cette nature que tu ne supportes pas les gens hypocrites qui ne se gênent pas pour critiquer les autres par derrière. Tu n'aimes pas les faux semblants et tu ne manqueras pas de le faire savoir.
Tu es aussi curieuse, peut-être un peu trop à tes dépends. Tu es prête à fourrer ton nez dans les affaires des autres pour percer leurs secrets.
Tu es têtue, très têtue, quand tu as une idée dans la tête, on ne peut pas te la faire sortir au risque de paraître ridicule. Au pire, tu te fous de ce que pense les autres de toi.
Côté cœur, tu n'es pas du genre à te donner au premier ou à la première venu(e). Tu as connu quelques petites histoires, mais tu n'as jamais été jusqu'à l'acte dans tes relations. Tu attends la bonne personne, démontrant ce côté romantique de toi que tu cherches à cacher.
Enfin tu as une phobie et pas des moindre. Tu es phobophobe. Ce qui signifie que tu as peur de la peur elle-même. Tu as peur d'avoir peur et cela provoque parfois en toi des crises de paniques et d'angoisses irrépressibles capables de te réveiller en pleine nuit. Il te faut beaucoup de temps pour t'en remettre.

Physique : Yeux marrons foncés • Cheveux noirs • 1m66 • 55 Kg • Mince • Myope

Tu es une jeune femme à la beauté simple mais ténébreuse, voilà pourquoi on s'intéresse à toi, cette aura mystérieuse attire. D'origine japonaise, tes longs cheveux tombant au milieu de ton dos, sont noirs et fins, on pourrait presque dire soyeux. D'ailleurs ils sont doux au toucher. Tu les laisses toujours détachés et libres, une mèche aux allures rebelles barrant ton front et cachant à l'occasion ton œil droit. Ces derniers sont marrons foncés, à la limite du noir, il est même difficile parfois d'en discerner les iris. Mais ils sont ton point faible. Et oui, tu es myope comme une taupe c'est le cas de le dire. Tu a 2 à ton œil gauche et 4 au droit. Autant dire tout de suite que tu ne vois pas très loin. Tu plisses souvent les yeux lorsque tu ne portes pas tes lunettes ou tes lentilles de contact. Ces dernières tu les a voulu de couleur mauve. Pourquoi ? Un soupçon d'originalité, un petit caprice.
Tu es plutôt de taille moyenne, n'oublions pas que tu es japonaise et on est pas très grand dans ton pays. Tu mesures exactement 1m66, ce qui est déjà respectable. Tu es plutôt mince, tu fais un peu de sport pour entretenir cette ligne aussi. Essentiellement du jogging et un peu de musculation et de natation à l'occasion, bien que tu affectionnes particulièrement l'équitation.
Tu prends soin de tes ongles que tu as longs, toujours soignés et parfois manucurés. Mais il ne faut pas oublier que tu est étudiante vétérinaire et que cela te contrains à les couper lorsque ton futur métier t'y oblige.
Tu te maquille régulièrement mais très légèrement. Tu ne veux surtout pas ressembler à un "peau de peinture" et surtout, tu ne veux pas abîmer ta peau encore si jeune, blanche et douce.
Tu aimes les bijoux, en dehors des opérations auxquelles tu assistes, tu portes des boucles d'oreilles, des bracelets ou des bagues qui changent souvent. Mais il y a au moins un bijou qui ne change jamais, que tu portes constamment y compris sous la douche ou pour dormir. C'est un collier surmonté d'une pierre précieuse, une Opale de Feu. Son utilité vous sera expliqué plus tard.
Tu possèdes aussi un piercing à l'oreille gauche, un industriel. Tu n'as pas encore de tatouage, mais ça ne saurait tarder car cela fait longtemps que tu souhaites t'en faire un.

Histoire : Tu es née un soir enneigé, le 1er décembre exactement. Tu étais déjà très calme. Mais tes parents étaient aux anges. Ils trouvaient que tu étais un magnifique bébé, le plus beau, comme beaucoup de parents pensent cela de leur progéniture. Ils t'ont aimé tout de suite et ils comptaient te donner encore énormément d'affection. Il faut dire qu'ils ont eu quelques difficultés à t'avoir. Les spécialistes ne leur donnaient pas beaucoup de chance pour avoir un enfant. C'est certainement pour cette raison que tu as été tellement désirée et surtout aimée par la suite.

Ton enfance a donc été ce qu'il y a de plus normal. Tu jouais, grandissais au fil de tes premières années, bien qu'un détail intriguait ton entourage. Tu semblais trop calme, tu ne pleurais que très rarement et tu jouais parfois à des jeux plus compliqués pour ton âge. Dans ton quartier, tu t'amusais des fois avec les autres enfants, c'est ainsi que tu as fait la connaissance de celle qui deviendraient au fil du temps, ta meilleure amie. Pour l’anecdote, tout à commencé lorsqu'un groupe d'enfants un peu plus âgés que toi, sont venus t'embêter. Elle est alors apparue, plus âgée que toi, elle les a fait se détourner de leur objectif. Elle t'a protégé et le ferait encore de nombreuses années. Sakura Kurobane, c'est ainsi qu'elle s'appelle ...

L'école est un lieu que tu as tout de suite aimé. Ta soif d'apprendre a toujours été grande, même encore maintenant. Tu étais toujours en avance sur les autres et tu finissais même par t'ennuyer. C'est ainsi que tes parents apprirent que tu étais une surdouée en herbe. Cela expliquait mieux certains détails de ton comportement. Une fois que tu as su lire parfaitement, surtout dans ta tête, tu t'es mise à te balader toujours avec un livre à la main. Ce dernier pouvait être sur n'importe quel sujet, tous semblait t'intéresser. Tu avais déjà développé également ce côté curieux qui ne te quittera plus. Chez toi tout se passait bien, ta famille était unie, beaucoup de personnes extérieures le reconnaissaient volontiers. Tes parents filaient le parfait amour et ils en avaient encore pour toi. Tu as donc eu une enfance très heureuse auprès d'eux.

Mais comme on dit, le calme précède à la tempête. C'est à l'âge de 10 ans que tu fis la connaissance de la Souffrance, la douleur de perdre un être cher. Ta mère est décédée dans un accident de voitures cette année-là. Tu savais ce que signifiait la mort. Disparaître à jamais. Ta mère ne reviendrait plus, plus de câlins, de bisous, de jeux, de discutions complices. Tout ça c'est envolé avec elle pour toujours. Tu n'as pas été la seule à en souffrir. Ton père aussi. Il en a même fait une dépression. Et sachant qu'il ne pourrait pas s'occuper de toi comme il le faudrait pendant quelques temps, il s'est arrangé avec les parents de ta meilleure amie pour que tu habites chez eux durant le temps qu'il lui faudrait pour surmonter cette douleur. Tu lui voulais un peu de t'abandonner ainsi. Même si Sakura tentait de te consoler et de te soutenir, elle ne pouvait pas comprendre. Elle avait toujours sa mère et puis ... sa famille était trop étrange à ton goût? Ça manquait d'amour dans ce foyer ...

Pour autant cela ne te déplaisait pas de rester chez Sakura, au moins tu n'étais pas seule dans cette épreuve. Petit à petit tu retrouvais le sourire et même goût à tes études. Mais alors que tout semblait pour le mieux, tu as été rappelée chez toi. Pas par ton père, non, il était encore déprimé. Mais par tes grands-parents maternels qui ne supportaient pas l'idée que tu puisses vivre dans cette famille "satanique" comme ils disaient. Tu avais conscience des rumeurs qui circulaient dans tout le quartier à leur sujet mais tu t'en fichais. Même si il est vrai que tu trouvais répugnant ce qu'ils avaient fait depuis peu subir à Sakura. Tailler les oreilles en pointe, non mais vraiment ...

Tu as continué cependant à la fréquenter. Entre-temps tes grands-parent faisaient tout pour obtenir le droit de t'avoir chez eux et sous leur tutelle. Mais ton père malgré cette mélancolie qui ne le quittait plus se battait pour éviter cela. Il surmontait sa douleur pour passer de nouveau du temps avec toi et avait refusé, comme ta mère auparavant, que l'on te place dans une école ou dans une classe spéciale pour des enfants surdouées comme toi. Il voulait que tu puisses profiter de ta jeunesse comme tous les autres enfants de ton âge. Tu as donc continué ainsi.

La mauvaise réputation de Sakura grandissait et pour cause, son comportement changeait. Elle était devenue perverse et faisait souvent des choses qu'on ne devraient pas à un certain âge. Avec toi cependant, elle n'avait jamais rien tenté mais tu détestais les personnes dans ton entourage ou dans le sien qui la critiquait impunément. Malgré ses défauts, elle restait ton amie, ta meilleure amie, même lorsque les insultes comme "pute à lesbienne" fusaient. Pourquoi aurais-tu perdu ton temps à prouver à ces gens ignares que vous n'aviez jamais eu ce genre de relation, Saku et toi ?

Tes grands-parents n'avaient pas lâché l'affaire et après avoir prouvé que ton père ne pouvait pas s'occuper de toi comme il le fallait, ils ont obtenu ta garde. Une chose dont tu te serais bien passé. Ils n'aimaient pas ton père, n'aimaient pas sa façon de t'éduquer, ils n'aimaient pas non plus ta meilleure amie. Ils trouvaient aussi que tu risquais de gâcher ton avenir à vouloir absolument devenir vétérinaire alors que tu avais un potentiel intellectuel bien au-dessus de la moyenne. Tu te foutais de ça, tu voulais réaliser ton rêve, tu aimais par-dessus tout les animaux, qui ne t’avaient jamais déçu. Ton côté rebelle et ta persévérance ont payé et ils t'ont laissé continuer sur la voie qui te plaisait. Cependant, ils n'ont pas manqué de te faire déménager loin de Shibuya, de ton père et de ta meilleure amie. Ton paternel pouvait encore venir te voir et heureusement, mais Sakura disparu de ta vie l'année de tes 15 ans.

Au fil des années qui suivirent tu te plongeais dans tes études et tu étais la plus jeune de ta promotion. Tu avais cependant développé un côté un peu taciturne, où parfois tu te renfermais, ne parlant à personne, ne voulant pas qu'on t'aborde. Tu voulais simplement lire tranquillement dans ton coin. Bien sûr, comme beaucoup d'adolescente tu as connu quelques amourettes, mais jamais tu n'as pu aller jusqu'à l'acte. Que ce soit un garçon ou une fille ça ne te dérange pas le moins du monde. Ce qui compte pour toi avant tout, ce sont les sentiments. Tu ramenais parfois des animaux blessés ou bien abandonnés chez toi, ce qui n'était pas toujours au goût de tes grands-parents. A ta majorité, tu as enfin repris ta liberté et tu as rejoint ton père, Shibuya et ... Sakura, elle n'était plus là. Pourquoi ? Tu ne le savais pas. tu avais juste l'impression d'avoir perdu ton amie la plus cher. Amie ? Vraiment ? Pourtant tu le sais au fond de toi que tu avais des sentiments amoureux pour elle, mais tu ne te l’avoueras pas.

C'est un soir, alors que tu regardes la télé, installée sur le canapé avec une tasse de thé, que ta vie va radicalement changé ...

Cher journal,

J'arrive à une période de ma vie où les confidents se font rare, il faut dire que je commence à me faire vieille. En autre, des amies pouvant parler avec moi, j'en ai plein, du moins pour ceux qui me supporte. Je crois même pouvoir dire que je peux compter sur quelques amis, mais aucun avec qui je puisse réellement me confier, je n'ai jamais été très naïve, jamais du genre à faire confiance à qui que ce soit à part à moi-même.

Pourtant j’ai besoin de me confier à quelqu’un. Tu n’es pas très bavard. À ta manière, tu me rappelles que le silence est d’or, n’est ce pas ? Pour cela, je vais brièvement me présenter à toi...

En ce qui me concerne, je suis une femme âgée de 27 ans. Je n'ai pas d'enfant et je ne suis pas mariée, pour dire la vérité, je ne me suis jamais intéresser aux histoires d'amours. Je travaille dans un cirque, malheureusement, je ne suis pas le clown qui est là pour faire rire la galerie mais bien celle au côté de sont père qui dompte les fauves. Parmi mes hobbies, je dirais que je suis un peu comme chacune des femmes vivants ici, j'aime faire les magasins et prendre soins de mon images, je ne le cache pas... Les reproches défilent à mon sujet, je suis bien trop narcissique et en ce qui concerne mon égocentrisme, je suis au dessus du panier... mais, je ne le cache pas, j'aime jongler ou faire du lancer de couteau sur cible amovible à mes heures perdues

Pourquoi ce besoin de se confier à toi, cher journal ? Sans doute parce que la vie se profile avec son lot de remises en question....

Je me suis toujours reproché d'être un peu trop au-dessus des autres, encore mon côté égocentrique qui me roule dessus. Ce n'est pas de ma faute si dans un groupe, je me sens toujours obligée d'être "la chef", je n'aime pas être commandée, c'est comme ça. Après, j'ai un assez mauvais caractère dans le sens où je mets rapidement en colère pour rien. Il y a des jours comme ça ou on retrouve une porte cassé et qu'on se dis " Tiens, elle était énervée aujourd’hui " comme "le petit poucet" laissant des cailloux derrière lui pour retrouver sont chemin, ou qu'on le retrouve qui sait.

En parlant de ceux qui arrivent à me supporter, il faut le dire, j'ai hériter du mauvais traits féminin, ah... la manipulation, qu'elle pétasse je fais parfois... ça me fais bien rire... jouer les filles fragile ou utilisez mes charmes pour avoir ce que je désire...

Je n'ai jamais été très bavarde, en réalité je n'aime pas beaucoup parler... C'est curieux mon cher journal, moi qui ne parle jamais de moi... moi qui est aussi indéchiffrable, qui ne parle jamais de ma vie privé, voila que je m'exprime sur des pages blanches...

Ce n'est pas mon genre d'être solitaire mais à cause de mon caractère bien pendu, j'ai développer ce côté taciturne qui fait de moi une femme difficile à abordée et à attirer l'attention. Il faut dire, que je me fiche un peu des autres, il n'y a que moi et mon travail, qui compte. Regardez-le le côté égocentrique qui refait surface aussi facilement, je rie.

Que dire d'autre a mon sujet... que malgré ce que les épreuves de la vie nous enseignent, je continue de me sentir vivante. Avoir le goût du risque, de cette adrénaline qui vous emplies l'esprit. Il ne ma pas suffit de tenter le diable en m'approchant un peu trop prés d'une cage de tigre en étant enfant, il a fallut que je continue jusqu'au jour d'aujourd'hui...

Bon, et bien voilà... j'aimerais aussi parlez d'une chose embarrassante, d'un fardeaux que je supporte depuis un petit moment maintenant... Et puis non, merde dirais-je. Je vais dire sincèrement ce que j'en pense, l'amour, c'est qu'une question de phéromones. Des belles paroles, des choses à vous embrouiller la tête, rien de plus. Je n'ai jamais été attirer par les belles histoire, je m'en fiche... mon dieu qu'est ce que je m'en moque et puisque je ne suis pas de ces connasses qui couchent en échange de leur fierté, et bien, j'ai toujours " ça ", de toute manière personne n'est assez bien pour moi. Mais en soit, ce n'est pas dérangeant, c'est un point de vue personnel. Il existe bien des gens qui ne sont n'y hommes n'y femme, il existe bien des gens aux penchants plus que tordus. Pourquoi ma catégorie serait t'elle différente des leurs ?

J'écris dès chose qui me concerne sans pourtant dire la vérité sur la véritable personne que je suis. Je ne vais pas dire être un bourreau de travail, j'aime la vie... je suis comme tout le monde, j'aime sortir en boite jusqu’à point d'heure et me bourrer la gueule, j'ai gardé un côté d'adolescente mais je sais m'arrêter quand il le faut, il ne faut pas exagérer non plus, je n'ai plus 15 ans. Et dans la vie justement... je suis une femme persévérante, quand je veux quelque chose je fais tout ce qui es en mon pouvoir pour l'obtenir, surtout au travail, car je veux être la fierté de la famille. Être admirée, jalousée et aimée. Je veux être cette femme inaccessible, et pourtant bien présente. Cette femme tellement grisante que la réalité de votre existence vous paraîtra fade en comparaison de la mienne.

Après, me direz-vous, je ne peux pas connaître chacun de mes traits de caractères. Mais il m'arrive parfois d'entendre certaine chose a mon sujet. Des personnes racontent que je suis très tactile, je m'en rend même pas compte... et de plus, qu'il est facile de lire mes expressions de visage... ça ne m'étonne pas des masses, je suis très expressive, surtout avec certaine mimiques que j'ai développer au fur et à mesure. Un exemple ? Hausser les sourcils quand quelque chose m'agace, taper du poing dans la paume de ma main quand je suis énervée, me mordre la lèvre inférieur quand je suis inquiètes ou perturbée.... voila, je suis comme toi, un livre ouvert.

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... J'ai une famille comme tout le monde, la mienne est grande... Je vis en compagnies de vieillard, d'enfant, de personne de mon âge. Je peux dire avoir ma tranquillité même si je vis dans une caravane... Enfin, arrive parfois que des choses volent à travers ma lucarne. Les enfants qui crient, je peux te l'assurer cher journal... Je déteste ça. Les gamins me comparent souvent à leur méchante et horrible institutrice, il faut dire que je ne suis pas douce et un poil trop autoritaire. Je ne m'imagine pas mère, comme l'amour bien une chose qui m'emporte peu.

Cher Journal

La beauté plaît aux yeux et ce n'est pas de regard indiscret dans la rue qui me feront penser le contraire. À mes yeux, mère nature a rendue toutes les femmes belles, ce n'est que parce qu'elles ne savent pas en tirer part et qu'elles doutent d'elles-mêmes qu'on se retrouve avec des thons. Dans la vie, il faut savoir se mettre en valeur. Regarde-moi. Peu importe le lieu, je brille par ma seule présence.

La beauté extérieure a toujours fait partie de moi. Pourri, dirais-je... Oui, je me vante d'avoir été gâtée d'une t-elle beauté. Quand, je me met face au miroir, je vois une silhouette affiner et pleine de grâce, perdre quelques kilos me rendraient alors parfaite... J'ai toujours été de grandes tailles, en y réfléchissant, je dois être dans la catégorie des femmes faisant dans les 1m70 - et pour ce qui est des kilos, je l'avouerais... Je n'aime pas la balance, mais de souvenir, je dirais environ 60 kilos. Mais ce n'est pas le plus gros... La première que je vois, est ma poitrine extrêmement bien portante, un beau bonnet E.

Au naturel, je suis une femme rousse, mais pour y ajouter une petite touche personnelle, je n'ai pas pu m'empêcher de les teindres en une couleur flamboyante. Cette longue chevelure m'arrive au milieu du dos, une mèche rebelle encadrant mon doux visage de type caucasien mais... il faut le dire grâce à ça, je suis ainsi visible de loin, j'attire les regards fureteurs et quand j'entends un petit mot doux à mon égard, je ne peux m'empêcher de sourire comme pour me féliciter moi-même d'un exploit.

Les yeux reflètent les émotions. On peut lire le caractère et les sentiments d'un individu dans ses yeux... Les yeux seraient donc les portes de l'âme. Suffit-il d'observer ? Pourquoi ne serait-ce pas plus facile de ce fier au vieux proverbe... Yeux verts, yeux de vipère, pour le coup, il n'avait pas tort le bon monsieur... Mes iris sont souvent comparés à deux émeraudes bien entourées de long et séduisant cils noirs ainsi que de sourcils bien dessiné.

Pour moi, je n’ai aucun défaut physique… Je suis parfaite ! Il y a peut-être bien une chose qui pourrait me chagriner, et pourtant, non. Ma cicatrice le long de mon œil gauche. Un sacré coup, qui pourtant fait tout de mon charme de femme inaccessible… Au final, elle fait partie de mes qualités et non de mes défauts. Et bien que les autres essayerons de me faire penser le contraire, ma voix sensuelle et cassante à lancer des pics à tout va se chargeras elle-même des perturbateurs.

Épices, ambre, patchouli, fleurs exotiques : des fragrances qui évoquent les terres lointaines, des sillages inédits qui vous emmènent ailleurs... Mon parfum est de celui qui A le don de faire voyager... Cependant, il est parfois masqué par l'odeur des cigarettes que je fume et en deviennent un peu trop présente... Je garde toujours sur moi, un parfum ou même un petit sachet de pastille à la menthe pour mon haleine.

En ce qui concerne ma façon de m'habiller, je n'ai jamais été une femme très compliquée... Je porte la plupart du temps de jeans moulant mes formes, des chemises ou encore des vestes en cuir, celle-ci faisant ressortir ma chevelure flamboyante. J'ai toujours cette petite pointe de maquillage sur les yeux et les lèvres, mais mes ongles eux, en plus d'être d'une longueur raisonnable, sont toujours vernis et polis. Je porte bien évidemment quelque bijoux, un collier, une bague, un bracelet ou encore des boucles d'oreilles. Pour le moment, je n'ai aucun piercing mais j'ai un tatouage de type tribal le long du côté gauche de mon tronc ( commencant au seins et se terminant au dessus de l'aine )

Cher Journal,

La mémoire n'est pas infinie et c'est sans doute pour cela que j'ai décidé de me mettre à écrire. Le passé... Il m'arrive Quelquefois de repenser aux histoires que me racontaient mes parents, à mes souvenirs d'enfance, à mes bêtises d'adolescence... Ainsi qu'à maintenant.

Je suis née ici, en août, sur cette bonne vieille île d'Awashima. Je n'ai jamais connu le monde extérieur dont me parlaient souvent mes parents ainsi que mes amis respectifs. Mon père m'avait souvent raconté son histoire, l'histoire de son célèbre cirque en Autriche et ma mère de sa petite boulangerie de France ou les gamins venaient acheter des sucreries le week-end avec leurs argents de poche.

Tous les deux s'étaient finalement retrouvés ici. Mon père n'avait pas mis longtemps à reconstruire sa vie d'autrefois, implantant en plein centre-ville un cirque fixe qui peu à peu prit de l'ampleur. Et puis, je ne sais comment... Ma mère est arrivée à ses côtés puis l'amour suivi, me donnant alors vie.

Enfant jusqu’à maintenant, j’ai vécu aux mêmes endroits parmi cette bonne vieilles troupes d’artistes. Je n’ai jamais été comme mes amies, à vivre dans une petite maison douillette à rêver de devenir avocate où gérante d’un grand magasin de vêtement, non. J’ai vécu dans une petite caravane avec ma famille, passant mon temps à observer les clowns, les trapézistes ainsi que mon très cher père qui détenait entre ses mains, mon rêve le plus chère.

Les fauves, comment te dire cher journal... Il ne suffit pas de les observer pour en percevoir la beauté, il faut aussi les comprendre. Jeune enfant naïve que j'étais à l'époque, je pensais pouvoir faire comme papa et dompter toute seule un gros chat bien féroce. C'est aussi à cette époque que je compris que les tigres n'étaient peut-être pas aussi gentils que je le pensais.

Un soir, alors que mes parents buvaient un coup dehors en compagnie d'autres artistes, je m'étais approché d'une dès cage à tigre. Mon père ne me voyant pas, s'était sans doute douté de quelque chose, car au moment où la bête féroce passa la patte à travers les barreaux pour m'agripper, mon géniteur me tira en arrière en me traitant « d'inconsciente ». Le tigre aurait très bien pu me tuer, mais il n'eut réussi qu'à me donner un petit coup de patte où une griffe me pris l'œil gauche, par chance, celui-ci ne fut pas crevé, mais perdu 5/10 de ses capacités.

Cependant, je n’avais ressenti aucun regret, car j’avais fais ce que je désirais le plus. Et malgré ce qu'il venait de m’arriver, je le voulais encore plus, réaliser mon rêve… prendre la place de mon père.

Lui, il était le chef du cirque mais il fallait le dire, enfant déjà j’aimais bien donner des directives et au fur et à mesure que je grandissais, mes désires devenait des ordres. Il fut difficile de s’affirmer face aux nombreuses personne voulant prendre la place de mon père, celui-ci ne voulant pas me donner une chance, pour lui, je n’étais encore qu’une « petite fille » prétentieuse qui voulait simplement faire mumuse avec un fouet sur scène...

Je ressens encore cette « rage » en moi. Il fut une époque où je me mis à ignorer ma famille, passant mes journées en ville avec des amies à faire du shopping, me ventant déjà d’être une beauté de la nature. C’est aussi à cette même époque que je me teint les cheveux en rouges pour me donner ce style bien à moi. Puis une envie de jeunesse à me faire tatouer à l’âge de 16 ans sans le réel consentement de mes parents, de toute manière, je me fichais de ce qu’ils pensaient, il n'y en avait pas un pour me faire confiance, à la fin... je n'avais confiance quand moi.

En ce qui concernait l’école, j’étais plutôt une élève sérieuse qui ne demandais qu’a travailler, même si parfois ma réputation de « plus belle fille de l’école » me poussait à jouer les petites salopes. J'étais la leadeuse de mon groupe d'amie et si jamais l'une d'entre elles ne voulait pas faire ce que je voulais et bien... Je l'envoyais chier et faisant en sorte que les autres ce moque d'elle.

Mais je me souviens surtout des pots de colle… De tous les mecs à te demander dix fois dans une même journée « Edelweiss, sors avec moi, je t’aime » ça me donne envie de vomir d’y repenser… Tout c'est gars aussi moches, les uns que les autres, ils croyaient vraiment pouvoir obtenir la perle rare aussi facilement ?

À 16 ans, c'est à cette même époque que le sceau fut levé, lors d'un rituel avec des prêtresses, un moment que je vécus avec éblouissent, comme tous les jeunes de mon âge, me permettant alors de découvrir ce que mes deux parents possédaient eux aussi, la magie... Au début s'était amusant puis peu à peu, elle faisait partie de ma vie de tous les jours, quelque chose qui n'avait rien d' « extraordinaire » au final pour moi. Il y a cependant une chose, que je n'eu jamais regretté... mon petit familier, il était bien le seul que je considérais comme un être ayant la possibilité d'avoir une place dans mon cœur de glace. Il m'arrive parfois d'être "gaga" avec lui, mais ça... j'évite de le montrer en publique.

Puis des mois plus tard, un signe me parvenue ; la naissance de jeunes tigres. Je n'avais laissé le choix à personne, faisant de ses petits « ma propriété » il était à moi et ceux qui par malheur les revendiquaient ou les touchaient avaient le droit à mes célèbres crises de nerfs...

Je m'étais finalement installée seule, dans un coin du cirque encore inoccupé. Comme une exclue de la société, je n'adressais la parole à personne, je ne voulais pas parler, je ne voulais pas perdre de temps... Je voulais simplement accomplir la tâche que je m'étais attribué. Peu à peu, j'avais commencé à dompter mes propres fauves, sans demander l'aide de personne, me souvenant simplement de ce que j'avais vu étant enfants.

Des mois plus tard, mon père reconnu alors ma véritable valeur, surpris par mon travail acharné et mon envie de prendre sa place. J'avais réussi à moi seule à dompter trois magnifiques bêtes qu'il ne put renier. Il commença alors de me donner des directives jusqu'à réaliser mon propre show, devant la foule exalté.

Que dire d'autre... qu'à travers les années j'ai réussi à me forger une réputation d’excellente dompteuse, que j'ai eu mon permis de conduire... que je n'ai toujours pas trouver l'amour, que je n'ai pas d'enfant... mais qui sait, il me reste à écrire l'avenir...

En soit, Rebecca est une jeune femme souriante. Elle n’a aucune difficulté à faire le premier pas et engage les discutions avec ceux qui lui sont inconnue. Elle est sociable et quand bien même quelqu’un serait-il dans le besoin, elle lui donnerait du creux de sa main, l’argent gagné par la sueur de son propre travail.

Rien n’est impossible. Elle n’est pas une personne terre-à-terre, raconte t-elle bien souvent des légendes en rapport à ses croyances, à l’écouter, ses récepteurs sembles faire partie d’un autre monde.

Nous avons tous nos petits soucis de la vie ; du pot de Nutella qui se brise sur le carrelage jusqu’au jour où l’on apprend la mort d’un proche. Rebecca est une jeune femme en parfaite harmonie, aussi bien avec elle-même que le monde qui l’entoure. Parfois qualifiée de personne indescriptible, rare sont ceux l’ayant déjà vue pleurer.

A l’observer, il est rapidement concevable de se dire que la jeune femme aime ce qui se rapporte à la nature. Il faut dire qu’elle aime par-dessus-tout quitter la ville pour pouvoir ne faire qu’un avec la faune et la flore qui l’entoure.

Rebecca est aussi une personne n’ayant pas besoin de grande chose pour être heureuse. Le simple fait de trouver une magnifique plume sur le bord d’un chemin suffis à la jeune femme pour être heureuse tout au long de la journée.

Mais, ce n’est pas parce que la jeune femme est sérieuse de son travail qu’elle ne sait pas s’amuser, au contraire. Des amies, ses doigts ne suffissent pas à les compter. Elle sort, s’amuse… mais, préfère ceux qui l’emmènent en forêt ; dormir sous une tente et se réchauffer auprès du feu.

De par ses origines remontant à l’époque où seul l’homme rouge frôlait cette terre, Rebecca eut la chance de recevoir des parents réceptifs aux anciennes légendes encore racontées par les peuples habitant les réserves du Canada.

En ce qui concerne l’amour, Rebecca a déjà eu des aventures. Homme, femme ou autres, la demoiselle ne fait confiance quand son cœur qui pourtant semble retissant envers les autres. Elle est pourtant une personne débordante d’amour, sans compter ce côté de protection et de jalousie qui anime chaque être en amour.

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Rebecca est une jeune femme abordant le 1 mètre 65 pour un poids de 52 kilogrammes. Mince sans pourtant être dépourvu de forme, nombreux sont ceux qui conçoivent que la jeune femme est été gâtée par mère nature. Relevant de la féminité, sont cotés sportif empreint cependant ses abdos agréablement dessinés, ainsi que ses bras.

Une peau-rouge, ainsi étais ce sont nom à l’époque, les yeux de la demoiselle rappel à la lumière du soleil, deux petites ambres, soulevée de long cils noir. Ses cheveux quant à eux sont aussi de la couleur du corbeau. Coupée semi-long, la jeune femme les garnies souvent en tresse ou bien même en mèche retenue de bande.

Des tatouages, elle en possède d’abord un sur le bras gauche. Il représente un losange (une graine) donnant naissance à un rosier le long de son bras. Ensuite, elle en possède un sous l’œil droit, un petit symbole représentant l'œil du dieu-faucon, Horus, ainsi que la représentation du Messager chez les Amérindiens. En ce qui concerne les piercings, la jeune femme détient de simples écarteurs de 10mm à chaque oreille.

...

Il faut remonter des années en arrière pour connaître les origines de Rebecca, cependant, nous ne remonterons pas aussi loin. Mais l’histoire que je vais vous raconter commence par une histoire d’amour entre un homme et une femme ; lui, un simple homme et elle une femme habitant les réserves indiennes du Canada.

Leurs histoires regorgent de moment de bonheur comme de tristesse, mais elle, quitta finalement ses origines pour partir avec l’homme. Leurs amours grandissants, celui-ci donna un enfant. Rebecca, simple prénom que l’homme avait choisi ainsi Nhiòte par la mère, qui signifiait « arc-en-ciel » en mohawk.

Comme sa mère avant elle, Rebecca naquit avec un Totem, élément que la tribu de l’ex-indienne signifiait un grand avenir pour cette enfant, les esprits en avaient décidée ainsi.

Comme chaque humain, la demoiselle grandit aux côtés de ses parents, baignant dans les histoires que sa mère lui racontait, ainsi des divinités qui peuplaient son monde. Ce qui était sûr, c’est quand grandissant, la jeune demoiselle relevait des origines de sa mère, toujours autant curieuse d'en apprendre plus.

En parfaite harmonie avec le monde qui l’entourait, nombreuse sont les fois où elle partait avec son Totem en balade, celui-ci revêtant toujours des animaux vêtu d’un pelage/plumage noir. Kahòntsi fut le nom qu’elle lui donna, ce mot signifiant « noir » en Mohawk.

C’est quand Rebecca eut 12 ans où Kahòntsi prit la forme d’un chien-loup, une forme qui rappelait à Rebecca ses deux parents, diffèrent l’un de l’autre.

Toujours sérieuse, aussi, bien, dans la vie que dans ses études, Rebecca commença à monter l'échelle vers des diplômes de commerce, ouvrant finalement une boutique regorgeant de produits amérindiens, conçus de produit purement naturelle (ex: pas de plume synthétique).

En soi, l'histoire ne s'arrête pas là... Mais tout raconter serais gâcher le plaisir de ceux qui apprendront les mystères de la jeune femme.

SAKURA KUROBANE (♀)

2 FÉVRIER 1995 À SHIBUYA • JAPONAISE • HOMOSEXUELLE • APPRENTI TATOUEUSE/PERCEUSE • TSUKUYOMI • MARCELINE DE ADVENTURE TIME


DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE

Sakura est une personne érudite, elle a des connaissances approfondies dans une matière, elle est une personne ayant soif d’apprentissage et pour rien au monde, elle laisserait derrière elle une nouvelle leçon rien que pour embellir ses connaissances. Sakura n’est pas une personne très honnête, mais elle reste une personne digne de confiance pour ses amies et franche. Quand la jeune fille a quelque chose à dire, elle n’hésitera pas à le dire ou à le faire comprendre par tous les moyens. Elle a ainsi un vocabulaire riche quoique la plupart du temps la jeune fille soit aussi vulgaire qu’un porc.

Il y a beaucoup de défauts chez Sakura, mais rien ne l’empêche d’avoir cette petite chose que fait d’elle une personne unique. Elle est d’abord une personne extravertie, elle m'manifeste ses émotions et cherche à chaque instant les échanges avec les autres, elle déteste la solitude…

C’est aussi une jeune fille très impatience, elle déteste attendre… Quand elle est en colère elle n'hésite pas a frapper tout ce qui bouge, il est difficile de la calmer une fois sur les nerfs, mais la compagnie féminine l’apaise. Elle est homosexuelle, elle aime donc les filles et pas qu’un peu… Son plus grand défaut est sa perversité bien qu’elle soit aussi câline, protectrice et douce comme un agneau avec ses compagnes. Sakura est aussi jalouse et possessive, quand quelque chose lui appartient personne n’a le droit d’y toucher à part elle. Elle n'est pas le genre de fille a être fidèle et ne couche avec des filles que pour le sexe mais si par chance quelqu'un faisait chavirée son cœur, cela pourrait rapidement changer.


INFORMATIONS MAGIQUES
• Manière d'utiliser la magie : Sakura ne possède ni sceptre ni baguette magique, elle débloque son pouvoir grâce à un tatouage sur l'intérieur de son poignet droit. Sakura n'hésite pas à exposer ses pouvoirs en public après tout, s'ils sont là ce n'est pas pour les renier ~
• Affinité : Bien sûr, elle l'aime


DESCRIPTION PHYSIQUE
Sakura est une jeune femme âgée de 20 ans. De taille moyenne, elle mesure 1.60 m, mince avec un poids de 55 kg. Son visage est ovale, lisse d'une couleur chair. Ses yeux sont rouge comme les flammes des limbes où l'ont peu se perdre si l'on y prend pas garde. Ce sont des yeux avec une détermination flamboyante, une estime de soi très élevée, mais un amour sincère pour ceux qui s'attardent à croiser son regard.

Ses cheveux longs et épais, quant à eux, sont noirs, un noir virant quelque fois vers le violet. En dessous de sa tignasse gauche, Sakura a les cheveux rasés, il ne lui manque plus qu'à rabattre ses cheveux gauches sur la droite pour donner cet effet de cheveux court d'un côté.

Ses oreilles hors du commun sont pointues, cela n'a rien à voir avec malformation, mais une tradition familial. Lors d'une intervention de chirurgie, en coupant le haut de son oreille et en rabattant les deux extrémités, Sakura pu avoir de magnifique oreille pointu t'elle une elfe.

Elle a des épaules sont étroites, des bras et des jambes musclées par ses entraînements de musculation. Il n'y rien de vraiment féminin chez elle, la jeune fille étant plus masculine qu'autre chose.

Sakura ayant déjà un style bien particulier détient plusieurs piercings t'elle que des ecarteurs de 6mm a chaque oreilles, un anneau a l'hélix droit et un piercing a la langue. En tatouage, celle-ci a une manchette prenant l'intégralité de son bras droit ainsi qu'un plus petit tatouage sur l'intérieur du poignet gauche, celui-ci lui permettant de contrôler ses pouvoirs.

Côté vestimentaire ce n'est pas compliqué, Sakura s'habille uniquement chez la gente masculine... vous pouvez rêver pour un jour la voir en robe ou jupe !


RACONTE NOUS SON HISTOIRE
Ce n’était qu’un rêve, un pauvre rêve que je voyais en boucle depuis mon arrivée dans « AWASHIMA », j’étais prisonnière de cette île et mes souvenirs du passé semblaient m’abandonner. Depuis combien de temps… Depuis combien de temps n’avais-je pas vu le doux visage de mes parents... Je sentais alors mon corps se poser sur une surface duveteuse, mon dos se reposait lui sur une surface plus dure et plus âpre. C’est en ouvrant les yeux que je me rendis compte que j’étais contre un arbre dépourvu de feuille. Le chant des oiseaux parvenait à mes oreilles, alors que la douce brise qui soufflait venait me rafraîchir délicatement le visage. Dans le continu de ce même souffle, je plongeais dans ma mémoire, me remémorant le début et la fin.

Je suis née avec mon frère jumeau une nuit de février dans la petite ville de Shibuya au Japon. Nous avons vécus notre enfance avec nos parents, des parents bien étranges comme le reste de ma famille... Je me souviens encore de ce jour où j'avais saigné pour la première fois... J'avais eu droit à une opération chirurgicale, le but ? Me tailler les oreilles en pointe comme le reste de ma famille... mon frère aussi allez bientôt goûtez a la douleur que j'avais subis.

J'étais éveillée, j'avais peur... Mes parents semblaient se réjouir, mais ce n'était pas mon cas, on ne m'avait pas demandé mon avis. L'homme s'était alors approché de moi, me faisant une piqûre au niveau de l'oreille pour endormir celle-ci, que faisait-il ? Me demandais-je... Puis il approcha un scalpel, prise de peur, je m'étais redressée, les ampoules grésillant « JE NE VEUX PAS ! J'AI PEUR ! » Mon père qui s'était approché de moi m'avait cloué là où j'étais couchée, me cachant les yeux, me rassurant... Mais je savais qu'au fond de moi quelque chose d'horrible m'arrivait. Sans le voir, l'homme coupa le haut de mon oreille, ramenant les deux extrémités avant de les coudre entre elles. La première oreille était terminée.

Mon père se reculant, j'avais cru que l'opération était maintenant terminée, mais non... Une nouvelle fois, j'avais senti cette sensation de piqûre dans l'oreille, cette fois s'en était trop. En criant, les ampoules grillèrent, nous plongeant dans les ténèbres... Personne n'avait compris ce qui arrivait, moi non plus d'ailleurs, mais je croyais en une sorte d'ange gardien venu me porter secours.

L'opération s'était alors terminée, sans lumière, il était impossible de poursuivre... La deuxième oreille serait faite trois jours plus tard.

Dans mon enfance, on m'avait longtemps considéré comme une enfant " pas comme les autres " ce n'était pas explicable, peut être un coup du hasard ou tout simplement une possession démoniaque... Quand j'étais en colère, les lumières s’éteignaient immédiatement, quand je sortais dehors, le ciel ensoleillé donnait place à un ciel sombre... La nuit, la lune me semblait aussi lumineuse que le soleil lui-même, la lune me réconfortait dans mes moments de peine.

On avait aussi découvert le même soucis avec mon frère ce qu'il faisant que nous étions toujours ensemble, soudée, même si quelque fois nous nous cripions le chignon jusqu'a répendre du sang sur le sol, nous étions violent lors de nos dispute.

Avec les années, j'avais compris que je nous étions pas comme les autres moi et mon frère et qu'un mystérieux pouvoir était en nous. Étant, déjà, à cette époque très érudite, je m'étais mise à faire des recherches, aussi bien sur Internet que dans une grande bibliothèque.

FLASHBACK - Cela faisait plus de cinq heures que j'étais dans la grande bibliothèque du coin à chercher ce qui m'arrivait réellement. Mon pouvoir avait sans doute un rapport avec les ténèbres ou la lune, compliqué de chercher tous cela sachant que je n'étais pas seul dans le bâtiment. Un coup dans les livres, un coup sur Internet...

Il y avait des topics racontant une histoire similaire à la mienne, mais rien n'avait avoir avec les ténèbres ou bien la lune, l'un parlait du soleil... L'autre de l'orage, je ne s'avais vraiment plus ou donner de la tête, cela était sans doute une malédiction.

Avec les années qui passaient, j'avais maîtrisé ces pouvoirs en moi, du moins un peu... les montrant à certains, les cachant à d'autres. Ma famille prenait ça comme un don offert par un dieu, d'autre à de la sorcellerie, de la possession démoniaque, j'en jouais beaucoup... Menaçant ceux ou celles qui me provoquaient, je m'étais donnée une identité bien à moi. J'avais déjà ce physique d'androgyne, habillée tel un garçon sans compter mon attirance sexuelle pour les femmes. Depuis le début, les hommes ne m'attiraient pas, ils étaient... répugnants ? Oui, cela était le mot à utiliser.

Un soir alors que je rentrais de boîte avec des amis, je m'étais endormie saoule sur mon lit puis à mon réveil, ayant encore "la gueule de bois", je m'étais retrouvée dans un endroit méconnaissable... Je me croyais encore saoule, finalement, je m'étais rendormie ayant mal à la tête. Quelques heures plus tard, je m'étais une nouvelle fois réveillée, mais rien n'avait changé, je n'étais pas dans ma chambre... j'avais cherché à comprendre, demandant de l'aide aux passants tous riaient en me tapotant l'épaule, en me disant " bienvenue ". Je n'y comprenais vraiment rien à rien...

J'étais paniquée, mais j'avais fini par comprendre que j'étais arrivée là comme tous les autres habitants par... Hasard ? Ils avaient tous un pouvoir, identique au mien ou pas, de toute manière j'avais faux en ce qui concernait Tsukiyomi, mais je n'avais pas eu le temps de prévenir mon frère a ce sujet...

Les premiers jours, les premiers mois, j'avais eu un manque de ma famille puis finalement, je m'étais habituée, me trouvant une nouvelle famille dans ce monde. Je m'étais trouvé un petit travail en tant qu'apprentie tatoueuse, un métier que j'avais toujours voulu faire... Le tatouage était devenu une petite parcelle de moi et justement, je m'étais fait tatouer sur le poignet un symbole, celui-ci me permettait de mieux focaliser mes pouvoirs qui eux, parfois, n'en faisaient qu'à leur tête.

sous la forme d'un canidés ressemblait fortement a sont familier.



MON FAMILIER


Rapellez-vous des montres cachée sous votre lit, des ombres tournoyant le long de vos murs par les soirs de plaine lune... vous rapellez-vous de cette terreur ? Il existe de nombreuses créatures dans le monde, toute aussi belles les unes que les autres. Vous rêvez de ce familier... Cette magnifique créature. Mais, vous rapellez-vous des monstres cachée dans votre placard ? Oui...

Il était terrifiant, vous ne vouliez plus les voir... et pourtant, que recherchaient ils vraiment ? Ils étaient des créatures comme les autres, a la recherche d'amour, mais les ténèbres, oui les ténèbres, elles avaient tout gâchés... Hogo-sha ou Gardien est l'une de ses créatures ayant passer ses journées cachée dans les forêts, a sortir la nuit tombée à la recherche d'un amie et pourtant, il terrifiait petit et grand.

Imaginez-vous cette créature de plus de deux mètres de hauteur, son crâne d'os et ses cornes faisant la taille de votre corps. Deux petites perles rouges éclairant ce crâne sans vie. Cette créature tout droit sortie des ténèbres, recouvert d'une large fourrure noir du cou jusqu'en bas du dos, ce dos recouvert de pique aussi grande que vos jambes. Face a lui, vous pouvez voir cette cage thoracique, a l’intérieur, un cœur noirci bat...

Il ne ressembla a aucun animal existant sur terre, il est l'inconcevable même, mais est-il aussi sombre que son cœur ? Ne serait-ce pas qu'une simple créature comme les autres ayant reçu les dons de la nuit étérnel.
Des ronces le suivent a chaqu'un de ses pas, des ronces sombre déchirant la moindre chose rencontrant sur son passage, la nature ne l'a pas gâtée... Mais rappelez-vous de cette créature cachée derrière le rideau, ne voulait-elle simplement pas voir la joie d'une enfant ?

Cette créature est le gardien, le protecteur de celui que lui ressemble. Un jour, il sauveras cette femme, puis étrangement, leurs âme s'accorderons... ils ne feront plus qu'un, comme la nuit et la lune.

* Hogo-sha a la possibilité de prendre deux tailles apparente qui a un sérieux impact sur sont caractère. Sous sa véritable taille de plus de 2m de haut, Hogo-sha est un familier très énigmatique et très protecteur n'hésitant pas a sortir les griffes et les crocs pour défendre sont maitre. Quand il est sous une forme mini 50cm a peine, il devient un vraie petit enfant. Il réclame sans cesses des câlins et de l'attention ayant peur de sa propre ombre.